Député

La valorisation du Val-de-loire, de la Touraine, et plus particulièrement du « Grand Est Touraine », fait à mes yeux partie du « job » pour lequel je me suis porté candidat.

Les députés ne dirigent plus d’exécutifs locaux et ne distribuent plus de subvention. Dégagés des conflits d’intérêt et des tentations du clientélisme, le député peuvent désormais mieux revêtir le rôle du facilitateur.

« Représentant de la Nation toute entière », le député participe à l’exercice de la souveraineté nationale. Celui-ci n’en est pas moins l’élu des habitants et des acteurs du territoire l’ayant envoyé siéger au Palais Bourbon. Il est ainsi indispensable d’être à l’écoute et d’échanger pour connaître les situations, les besoins, les propositions et les craintes.

Un député doit savoir expliquer ce qu’il fait, les positions du groupe parlementaire auquel il appartient, et, le cas échéant, et les actions du Gouvernement qu’il soutient. C’est aussi simple que ça. Pour autant, un député ne peut pas tout savoir sur tout.

Tout comme le travail législatif ne se résume pas à une présence dans l’hémicycle – une grande partie du travail, notamment préparatoire, se fait en commissions – le travail parlementaire stricto sensus ne consiste pas seulement à légiférer. L’activité de contrôle est tout aussi importante.

L’article 24 de la Constitution de la Ve République dispose : que le Parlement vote la loi (…), contrôle l’action du Gouvernement et évalue les politiques publiques ; que le Parlement comprend l’Assemblée nationale et le Sénat ; et que les députés à l’Assemblée nationale (…) sont élus au suffrage direct.

J’entame en ce début d’année 2018 le deuxième semestre du mandat de député que m’ont confié les électeurs de la seconde circonscription d’Indre-et-loire, les électeurs du « Grand Est Touraine ». Cette confiance m’honore mais elle m’engage d’abord. Je mesure chaque jour les responsabilités qui m’incombent. J’ai pris mes marques, gagné en connaissance et, j’ose le […]