Le Gouvernement a décidé de faire de la prévention une priorité de la politique de santé. Le Premier ministre a annoncé au mois de mars des mesures fortes en ce sens accompagnées d’un plan d’investissement de 400 millions d’euros sur 5 ans. Dans ce contexte, et à l’invitation du Président de la République, la filière viticole s’est mobilisée.
Les propositions de la filière viticole pour lutter contre les addictions et les comportements à risque, pour promouvoir une consommation responsable, sont pragmatiques et volontaristes. Elles consistent par exemple à mieux faire respecter l’interdiction de vente aux mineurs, en particulier par le biais d’une meilleure formation des professionnels en contact avec les consommateurs. Elles sont pour les 500 000 professionnels de la vigne et du vin une véritable révolution. Je les soutiens et souhaite qu’elles soient entendues.