Tout comme le travail législatif ne se résume pas à une présence dans l’hémicycle – une grande partie du travail, notamment préparatoire, se fait en commissions – le travail parlementaire stricto sensus ne consiste pas seulement à légiférer. L’activité de contrôle est tout aussi importante.

Elle prend différentes formes :

  • auditions en commission ;
  • participation à des commissions d’enquête et à des missions d’information ;
  • représentation de l’Assemblée nationale dans des instances — comme pour ma part le Comité consultatif du secteur financier — ;
  • questions écrites ou en séance publique posées au Gouvernement.

Mes trois premières questions écrites aux ministres ont concerné : le glyphosate, la situation des actuels bénéficiaires d’un contrat unique d’insertion (CUI), notamment proche de la retraite, et les pratiques organisationnelles et managériales du groupe Lidl suite à l’enquête menée pour France télévision par le magazine Cash Investigation. Le 4 octobre, je suis intervenu lors de la séance des Questions au Gouvernement pour interroger le ministre de l’Économie et des Finances, M. Bruno LE MAIRE, sur la stratégie du Gouvernement en matière de dialogue social suite à la visite du Président de la République aux salariés du site Whirpool Amiens.

Voir aussi :

Député… pour quoi faire ? (1) : Ma réponse en 6 mots

Député… pour quoi faire ? (2) : Légiférer

Député… pour quoi faire ? (4) : Expliquer

Député… pour quoi faire ? (5) : Représenter

Député… pour quoi faire ? (6) : Faciliter

Député… pour quoi faire ? (7) : Valoriser

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